un festival en réseau
Fureurs d’Avril, c’est un projet porté par un réseau de professionnel·les engagé dans la médiation et la diffusion cinématographique.
Un travail collectif
Le festival rassemble chaque année des salles de cinéma indépendantes, des médiateur·ices, des associations territoriales et des partenaires pour offrir un événement conçu sur mesure pour les publics jeunes (mais pas que).
Une expertise partagée
Les médiateur·ices programment les films du festival et imaginent de nouvelles médiations à chaque édition. Les groupes de jeunes ambassadeur·ices, que de nombreuses salles animent tout au long de l'année, choisissent les films cultes et inventent ensemble la journée d'ouverture où ils se rassemblent pour une grande fête commune.
Pourquoi ce festival ?
Fureurs d’Avril souhaite contribuer à la valorisation des salles de cinéma indépendantes auprès des publics jeunes. Bien que ces publics aiment le cinéma, ils fréquentent moins les salles art et essai, souvent au profit des grandes chaînes ou des plateformes de streaming. Ce festival leur offre l’opportunité de (re)découvrir ces espaces culturels. Grâce à une programmation équilibrée, à des animations sur mesure et à l'engagement des salles de cinéma, chaque séance devient un moment collectif unique. En favorisant la découverte d’œuvres et les échanges, Fureurs d’Avril valorise ces salles comme des lieux où la jeunesse peut s’exprimer, débattre et vivre le cinéma autrement.
Qui l'organise ?
Fureurs d'Avril est organisé par des médiateur.rices en salle de cinéma du Réseau Médiation Cinéma (RMC), un projet unique en France porté par le Groupement Régional d'Actions Cinématographiques (GRAC). Créé en 2012, le RMC regroupe des professionnel·les de la médiation en salles de cinéma indépendantes en Auvergne-Rhône-Alpes. Le festival, tout comme les autres projets du RMC, est rendu possible grâce à l'engagement des salles et à leurs équipes, qui façonnent des événements adaptés aux envies des spectateur·rices, particulièrement les jeunes, de tous territoires.
